image

Les éditions MAKEDA SABAS, Paris

Ligne éditoriale résumée

Puissent  l’Afrique et l’Afrodescendance renouer avec l’Excellence à la faveur de la génération naissante et montante.
Nombreux, très nombreux sont ceux qui auront toutes les peines du monde à accepter le fait suivant qui pourtant a été éprouvé lors d’un débat au plus haut niveau entre les meilleurs experts en la matière (1). Quelques immenses penseurs ou historiens africains et afrodescendants ont mis en évidence le fait que l’Afrique noire est non seulement le « Berceau et le Lit de l’Humanité », mais elle est aussi le « Berceau et le Lit de la Civilisation » notamment à travers l’Egypte pharaonique : l’Afro-américain-libérien Edward Wilmot Blyden (1832-1912), l’Haïtien Joseph Anténor FIRMIN (1850-1911), le Jamaïcain Marcus Mosiah GARVEY (1887-1940), le Guyanien George Granville Monah JAMES (dernière moitié du XIXème siècle-1954), tout particulièrement le Sénégalais Cheikh Anta DIOP (1923- 1986), etc.
Cela change tout, car ceux-là qu’on présente depuis des lustres, dans nos écoles et universités, comme inaptes à entrer dans l’histoire ou à bâtir des civilisations, voilà qu’ils sont les initiateurs de l’histoire et de la civilisation au sein de l’humanité. Cette révélation ne restera pas sans conséquences dans les prochaines années, car la totale légitimité de l’Afrique au sein de l’humanité sera rétablie dans nos esprits et en même temps sera restaurée l’intégrité ou toute la richesse de l’humanité.
Cette place prestigieuse de l’Afrique dans l’histoire constitue la vraie histoire de l’humanité, elle a pour principal fondement les travaux et réflexions du professeur Cheikh Anta DIOP.
Ce qui suit est également surprenant, mais il nous faudra l’intégrer. Le professeur Cheikh Anta DIOP est sans nul doute le plus grand penseur du XX ème siècle, incomparable savant multidisciplinaire : physicien-chimiste à la base, il étend très vite ses compétences aux sciences humaines, notamment à l’histoire, à la préhistoire et même à la paléo-histoire, à l’égyptologie, à la linguistique, à la philosophie, à l’anthropologie, à la sociologie, à la géopolitique, à l’épistémologie. Son érudition tend de manière manifeste à l’exhaustivité.
L’ambition des éditions MAKEDA SABAS est de vulgariser la vraie histoire de l’Afrique et de l’Afrodescendance, à travers ses ouvrages (livres, calendriers, jeux de cartes, posters, tee-shirts, …), en priorité auprès de la jeunesse, notre Avenir.
Une éducation bien comprise de la génération naissante et montante doit avoir en son centre ces travaux soulignant le rôle d’initiation (berceau) et de développement à son plus haut point (lit) de la Civilisation par les Négro-Africains le long de la vallée du Nil, plus de 6 000 ans avant l’époque actuelle : au Soudan antique tout d’abord, puis également en Egypte pharaonique, fille du Soudan. Dès la plus haute antiquité, l’Afrique invente l’écriture, les mathématiques, l’écriture, les sciences, l’agriculture, la médecine, l’architecture, l’astronomie, le monothéisme, et caetera. Ici, il importe d’entendre « éducation » au sens large : certes éducation scolaire, mais aussi et d’abord éducation familiale.
Depuis près de quatre siècles, l’éducation des Africains et Afrodescendants consiste certes en l’acquisition des « bonnes manières en société », mais aussi en la parfaite assimilation d’un savoir scolaire reflétant une vision de soi négative, dévalorisante dans l’histoire de l’humanité. Cette éducation mal comprise ne peut que continuer de prolonger la longue série des générations d’Africains et d’Afrodescendants aliénés et incapables de procurer à eux- mêmes et à leur descendance un épanouissement social ; générations qui vivent avec beaucoup de frustrations, car ayant le profond sentiment d’occuper, notamment dans le monde du travail, des postes de niveau hiérarchique inférieur à leurs compétences. Depuis au moins 500 ans, les générations qui se succèdent se situent globalement au bas de l’échelle sociale, en position de subordination à travers le monde. Barack OBAMA peut être vu comme « l’arbre qui cache la forêt ». En effet, l’homme est brillant et probablement sans équivalent au poste de la magistrature suprême de la plus grande puissance au monde ; en cela, nous comprenons parfaitement que pour la première fois depuis que l’Occident a conquis la planète, les « petites têtes crépues » d’Afrique, des Amériques et d’ailleurs puissent être fières d’avoir elles aussi une référence suprême qui leur ressemble ; ce qui est fondamental pour leur projection personnelle future. Toutefois, comme ses prédécesseurs à la magistrature suprême, Barack OBAMA ne dirige pas les Etats-Unis d’Amérique, il n’est que le porte-parole des lobbies de la finance, de l’armement, du spatial, de la cigarette, des médias, du pétrole, des nouvelles technologies, du show-biz … ; lobbies dans lesquels les Afro- américains sont en nombre insignifiant et donc sans réelle influence.
La prochaine génération d’Africains et Afrodescendants doit être la première qui renoue avec l’Excellence depuis au moins 500 ans, une forte proportion de ses membres doit être les meilleurs au monde dans leur domaine : par exemple madame Assata CAMARA sera, tous sexes confondues, élue businesswomen de l’année 2042 une énième fois et monsieur Koffi LUMUMBA le plus grand chirurgien du cerveau de tous les temps. Mais cette génération renouera avec l’Excellence, parce que ses aînés se seront employés à lui transmettre dès son plus jeune âge la connaissance de soi, fondée essentiellement sur la vraie histoire de l’humanité, dans laquelle « L’Afrique est le berceau et le lit de l’humanité et de la civilisation ».
C’est cette connaissance de soi qui est la seule à même de conduire la génération naissante et montante d’Africains et Afrodescendants à l’estime de soi, à la confiance en soi et au final à la pleine et totale créativité. Cette perspective est de nature à réconcilier l’humanité avec elle-même. Ceci, dans la mesure où désormais tous ses enfants pourront mettre leurs potentiels à son profit dans l’optique, non plus de guerre de tous contre tous et de guerres de toutes sortes (militaire, économique, culturelle, « civilisationnel », luttes des classes, …) ou de « Choc des civilisations » ; mais dans une optique de partage et de paix. Projet de partage et de paix que l’Afrique propose à l’humanité tout entière depuis la plus haute antiquité, conçu autour du concept de la « MAÂT », Déesse de la justice, de l’équilibre, de l’harmonie globale.
C’est cette mission d’assurer une éducation d’Excellence à la génération naissante et montante de l’humanité – mission la plus éminente qui soit- que se donnent modestement les Editions MAKEDA SABAS, notamment à travers ses ouvrages ; mission à laquelle les Editions MAKEDA SABAS invitent toutes les bonnes volontés.
« Nos Enfants sont notre Raison de vivre, ils méritent l’Excellence »
« Nos Enfants sont notre Raison de lire, ils méritent l’Excellence »

(1) Le colloque d’égyptologie, organisé par l’UNESCO au Caire du 28 janvier au 3 février 1974

Rate us and Write a Review

Service/Product Quality

Service/Product Avaiability

Price

Customer Support

Browse

Your review is recommended to be at least 140 characters long

You agree & accept our Terms & Conditions for posting this review?

image

building Own or work here? Claim Now! Claim Now!
image